[Editor’s Note: In this series, we are shining a light on our workforce in and around the Benelux. This Spotlight is on Staff Sgt. Nicholas Klein, a Military Police officer who volunteers his time to teach self-defense classes that enhance the safety and security of Brussels community members.]
BRUSSELS, Belgium — In a room beneath the U.S. Army Garrison Benelux-Brussels gym, a dozen people gather and there are sounds of a scuffle. A voice yells loudly, “Kick him in the knee, go for the groin … jab your fingers in his eyes!” No, it’s not Soldiers in a fight or watching professional wrestling on TV, it’s a self-defense class instructed by garrison Military Police (MP) officer Staff Sgt. Nicholas Klein.
Klein, the physical security advisor for USAG Benelux-Brussels, is using his law enforcement experience and his passion for jiu-jitsu, a Brazilian martial art and combat sport, to provide free self-defense classes for Brussels staff and Family members in his off-duty time.
Initially, after arriving in Brussels, Klein pursued his passion for jiu-jitsu by taking part in local classes and volunteering to teach it on base. However, while teaching the martial art discipline as a competitive sport, he began getting questions from students asking how they, or the women in their family, could use close combat techniques to defend themselves from becoming a victim of crime, sexual assault or domestic abuse. So, he decided to respond to the interest for more specific information and create a class focused on self-defense techniques for daily life situations.
Klein, who has 15 years of experience working on patrol, as a patrol supervisor and as a police investigator, has responded to dozens of domestic violence incidents over the years and has served as a victim advocate for victims of sexual assault. Often, the victims were women who were not able or didn’t know how to defend themselves.
“The goal of my class is to give them the ability to get home at the end of the night rather than end up in the hospital or worse,” said Klein. “People highly underestimate themselves at times and think they’re not able to do something, but then given the opportunity they flourish.”
In the class, Klein focuses of three aspects of self-defense: remain calm, assess the situation and take action (to get away). However, the class is much more than a lecture, it’s an interactive teaching experience. After explaining and discussing specific self-defense techniques, Klein dons protective gear and provides students with boxing gloves so he can simulate an attack while encouraging them to fight back. The goal is to give students an opportunity to “get comfortable with being uncomfortable and test their fight or flight response,” said Klein.
So far, Klein has taught three self-defense classes in Brussels and is looking at opportunities to provide them at other locations within the USAG Benelux community. Interest in the classes has increased and Klein encourages students to take the class more than once to become comfortable with various techniques like punching, kicking and using everyday items such as keys, purses and backpacks to resist an attack.
“When you’re being attacked there’s no time to hesitate or think it through, you just have to act,” said Klein. “The goal is to get them comfortable to where it becomes second nature.”
Yvonne O’Toole, a student who has taken all three of Klein’s self-defense classes said she likes the hands-on training that his class provides. “Being able to practice on a person gives me the tools and self-confidence to protect myself when I am alone,” said O’Toole.
Klein comes from a Family with a long history of service in law enforcement and he is proud to be following in his father’s footsteps in teaching self-defense classes that help keep people safe from assault or abuse.
“I like helping students see that they have the fight in them and that they don’t have to be a helpless victim,” said Klein.
This Spotlight series will continue to tell the stories of our workforce in and around the Benelux. We are the Army’s home - we are IMCOM.
USAG Benelux Spotlight: Staff Sgt. Nicholas Klein
[Note de la rédaction: Dans cette série, nous mettons en lumière notre personnel au sein de et autour du Benelux. Ce spotlight est consacré au sergent-chef Nicholas Klein, un officier de la police militaire qui enseigne bénévolement des cours d’autodéfense visant à renforcer la sûreté et la sécurité des membres de la communauté de Bruxelles.]
BRUXELLES, Belgique – Dans une salle située sous le gymnase de l’U.S. Army Garrison Benelux-Bruxelles, une douzaine de personnes se rassemblent et des bruits de bagarre se font entendre. Une voix crie haut et fort: “Donnez-lui un coup de pied dans le genou, visez l’entrejambe… enfoncez vos doigts dans ses yeux!”. Non, ce ne sont pas des soldats qui se battent ou qui regardent du catch professionnel à la télévision, c’est un cours d’autodéfense donné par le sergent-chef Nicholas Klein, officier de la police militaire (PM) de la garnison.
M. Klein, conseiller en sécurité physique pour l’USAG Benelux-Bruxelles, met à profit son expérience en matière de maintien de l’ordre ainsi que sa passion pour le jiu-jitsu, un art martial brésilien et un sport de combat, pour offrir des cours d’autodéfense gratuits au personnel de Bruxelles et les membres de la famille des soldats pendant son temps libre.
Au début, après son arrivée à Bruxelles, M. Klein a poursuivi sa passion pour le jiu-jitsu en participant à des cours locaux et en se portant volontaire pour enseigner sur la base. Cependant, alors qu’il enseignait cet art martial en tant que sport de compétition, il a commencé à recevoir des questions de la part de ses étudiants, qui demandaient comment eux, ou les femmes de leur famille, pourraient utiliser des techniques de combat rapproché pour se défendre et éviter d’êtres victimes d’un crime, d’une agression sexuelle ou de violences conjugales. Il a donc décidé de répondre à la demande d’informations plus spécifiques en créant un cours axé sur les techniques d’autodéfense pour les situations de la vie quotidienne.
M. Klein, qui a 15 ans d’expérience en tant que patrouilleur, superviseur de patrouille et enquêteur de police, a répondu à des dizaines d’incidents de violence conjugale au fil des ans et a défendu les droits des victimes d’agressions sexuelles. Souvent, les victimes étaient des femmes qui ne pouvaient ou qui ne savaient pas se défendre.
« L’objectif de mon cours est de leur donner la possibilité de rentrer chez eux à la fin de la soirée plutôt que de se retrouver à l’hôpital, ou pire », a déclaré M. Klein. « Les gens se sous-estiment beaucoup et pensent qu’ils ne sont pas capables de faire quelque chose, mais lorsqu’on leur donne l’occasion, ils s’épanouissent.
Dans ce cours, M. Klein se concentre sur trois aspects de l’autodéfense: rester calme, évaluer la situation et agir (pour s’enfuir). Cependant, le cours est bien plus qu’une présentation, c’est une expérience d’enseignement intéractive. Après avoir expliqué et discuté des techniques d’autodéfense spécifiques, M. Klein revêt une tenue de protection et fournit aux élèves des gants de boxe afin de simuler une attaque tout en les encourageant à riposter. L’objectif est de donner aux élèves l’occasion de « se sentir à l’aise dans l’inconfort et de tester leur réponse combat-fuite », a déclaré M. Klein.
Jusqu’à présent, M. Klein a donné trois cours d’autodéfense à Bruxelles et étudie les possibilités de les donner dans d’autres lieux de la communauté de l’USAG Benelux. L’intérêt pour le cours a augmenté et M. Klein encourage les élèves à suivre le cours plus d’une fois pour se sentir à l’aise avec les différentes techniques comme les coups de poing, les coups de pied et l’utilisation d’objets quotidiens comme les clés, les sacs à main et les sacs à dos pour résister à une agression.
« Lorsque vous êtes attaqué, vous n’avez pas le temps d’hésiter ou de réfléchir, vous devez juste agir », explique M. Klein. « L’objectif est de faire en sorte qu’ils se sentent à l’aise pour que cela devienne une seconde nature ».
Yvonne O’Toole, une étudiante qui a suivi les trois cours d’autodéfense de M. Klein, a déclaré qu’elle apprécie la formation pratique que son cours offre. « Le fait de pouvoir m’exercer sur une personne me donne les outils et la confiance en moi nécessaires pour me protéger lorsque je suis seule ».
M. Klein vient d’une famille qui a une longue tradition de service dans les forces de l’ordre et il est fier de suivre les traces de son père en donnant des cours d’autodéfense qui aident les gens à se protéger contre les agressions et la maltraitance.
« J’aime aider les élèves à leur montrer qu’ils ont la force de se battre et qu’ils n’ont pas à être des victimes sans défense », a déclaré M. Klein.
Cette série Spotlight continuera à raconter l’histoire de notre personnel dans et autour du Benelux. Nous sommes la maison de l’armée – nous sommes IMCOM.
USAG Benelux Spotlight: Staff Sgt. Nicholas Klein
[Notitie van de redactie: In deze serie schijnen we een licht op onze werknemers in en rond de Benelux. Deze Spotlight gaat, over Staff Sgt. Nicholas Klein, een officier van de militaire politie die in zijn vrije tijd zelfverdedigingslessen geeft om de veiligheid van de leden van de Brusselse gemeenschap te verbeteren].
BRUSSEL, België - In een ruimte onder de sportzaal van het U.S. Army Garrison Benelux-Brussels komen een tiental mensen bijeen en klinken er geluiden van een gevecht. Een stem schreeuwt luid: "Schop hem in zijn knie, ga voor zijn lies... steek je vingers in zijn ogen!" Nee, het zijn geen soldaten in een gevecht of die naar professioneel worstelen op tv kijken, het is een zelfverdedigingscursus die wordt gegeven door Staf Sgt. Nicholas Klein van de militaire politie van het garnizoen.
Klein, de fysieke veiligheidsadviseur voor USAG Benelux-Brussel, gebruikt zijn ervaring van wetshandhaving en zijn passie voor jiu-jitsu, een Braziliaanse vechtsport, om in zijn vrije tijd gratis zelfverdedigingslessen te geven aan het Brusselse personeel en hun familieleden.
Aanvankelijk, na aankomst in Brussel, streefde Klein zijn passie voor jiu-jitsu na door deel te nemen aan lokale lessen en als vrijwilliger les te geven op de basis. Toen hij echter les gaf in deze vechtsport als wedstrijdsport, kreeg hij vragen van studenten over hoe zij, of de vrouwen in hun familie, gevechtstechnieken voor op korte afstand konden gebruiken om zichzelf te verdedigen tegen een misdrijf, aanranding of huiselijk geweld. Dus besloot hij in te gaan op de vraag naar meer specifieke informatie en een les te organiseren over zelfverdedigingstechnieken voor alledaagse situaties.
Klein, die 15 jaar ervaring heeft als patrouilleur, patrouilleleider en politierechercheur, heeft in de loop der jaren tientallen gevallen van huiselijk geweld behandeld en is slachtofferhulpverlener geweest voor slachtoffers van seksueel geweld. Vaak waren de slachtoffers vrouwen die niet in staat waren of niet wisten hoe ze zichzelf moesten verdedigen.
"Het doel van mijn klas is om hen de mogelijkheid te geven om aan het eind van de avond thuis te komen in plaats van in het ziekenhuis te belanden of erger," zei Klein. "Mensen onderschatten zichzelf soms enorm en denken dat ze iets niet kunnen, maar als ze de kans krijgen, bloeien ze op."
In de les richt Klein zich op drie aspecten van zelfverdediging: kalm blijven, de situatie inschatten en actie ondernemen (om weg te komen). De les is echter veel meer dan een lezing, het is een interactieve leerervaring. Na het uitleggen en bespreken van specifieke zelfverdedigingstechnieken, trekt Klein beschermende kleding aan en geeft hij studenten bokshandschoenen, zodat hij een aanval kan simuleren terwijl hij ze aanmoedigt om terug te vechten. Het doel is om studenten de kans te geven "zich comfortabel te voelen met ongemakkelijk zijn en hun vecht- of vluchtreactie te testen," aldus Klein.
Klein heeft tot nu toe drie zelfverdedigingslessen gegeven in Brussel en kijkt naar mogelijkheden om deze ook op andere locaties binnen de USAG Benelux gemeenschap te geven. De belangstelling voor de lessen is toegenomen en Klein moedigt studenten aan om de lessen meer dan eens te volgen om vertrouwd te raken met verschillende technieken zoals slaan, schoppen en het gebruik van alledaagse voorwerpen zoals sleutels, handtassen en rugzakken om een aanval te weerstaan.
"Als je wordt aangevallen is er geen tijd om te aarzelen of na te denken, je moet gewoon handelen," zei Klein. "Het doel is om ze zo op hun gemak te stellen dat ze de bewegingen uitvoeren zonder erbij stil te staan."
Yvonne O'Toole, een studente die alle drie de zelfverdedigingslessen van Klein heeft gevolgd, zegt dat ze houdt van de praktische training die zijn lessen bieden. "De mogelijkheid om op een persoon te oefenen geeft me de middelen en het zelfvertrouwen om mezelf te beschermen als ik alleen ben," zei O'Toole.
Klein komt uit een familie met een lange geschiedenis in wetshandhaving en hij is trots om in de voetsporen van zijn vader te treden en zelfverdedigingslessen te geven die helpen om mensen te beschermen tegen geweld of misbruik.
"Ik vind het leuk om studenten te helpen inzien dat ze kunnen vechten en dat ze geen hulpeloos slachtoffer hoeven te zijn", zegt Klein.
Deze Spotlight-serie blijft de verhalen vertellen van onze medewerkers in en rondom de Benelux. Wij zijn het thuis van het leger, wij zijn IMCOM.
USAG Benelux Spotlight: Staff Sgt. Nicholas Klein
[Anmerkung der Redaktuerin: In dieser Serie beleuchten wir unsere Belegschaft in und um die Benelux-Länder. Dieses Rampenlicht ist auf Staff Sgt. Nicholas Klein, ein Mititärpolizist, der ehrenamtlich Selbstverteidigungskurse gibt, die die Sicherheit der Brüsseler Gemeindemitglieder erhöhen.]
BRÜSSEL, Belgien— In einem Raum unter der Turnhalle der U.S. Army Garrison Benelux-Brussels versammeln sich ein Dutzend Menschen und es sind Geräusche eines Rauferei zu hören. Eine Stimme schreit laut: „Treten Sie ihm ins Knie, greifen Sie ihn in die Leistengegend … stoßen Sie ihm mit den Fingern in die Augen!“ Nein, es handelt sich nicht um Soldaten in einem Kampf oder um professionelles Wrestling im Fernsehen, sondern um einen Selbstverteidigungskurs, der vom Stabsfeldwebel der Garnisonsmilitärpolizei (MP) Nicholas Klein geleitet wird.
Klein, der körperliche Sicherheitsberater der USAG Benelux-Brüssel, nutzt seine Erfahrung in der Strafverfolgung und seine Leidenschaft für Jiu-Jitsu, eine brasilianische Kampfkunst und Kampfsportart, um in seiner Freizeit kostenlose Selbstverteidigungskurse für Brüsseler Mitarbeiter und Familienangehörige anzubieten.
Nach seiner Ankunft in Brüssel verfolgte Klein zunächst seine Leidenschaft für Jiu-Jitsu, indem er an örtlichen Kursen teilnahm und sich freiwillig bereit erklärte, Jiu-Jitsu auf dem Gelände zu unterrichten. Während er jedoch Jiu-Jitsu als Wettkampfsport unterrichtete, bekam er von Schülern Fragen, wie sie oder die Frauen in ihrer Familie Jiu-Jitsu-Techniken nutzen könnten, um sich davor zu schützen, Opfer von Straftaten, sexuellen Übergriffen oder häuslicher Gewalt zu werden. Deshalb entschloss er sich, dem Interesse an spezifischeren Informationen Rechnung zu tragen und einen Kurs zu gründen, der sich auf Selbstverteidigungstechniken für Alltagssituationen konzentriert.
Klein, der über 15 Jahre Erfahrung im Streifendienst, als Streifenleiter und als Ermittler bei der Polizei verfügt, hat im Laufe der Jahre auf Dutzende Vorfälle häuslicher Gewalt reagiert und war als Opferfürsprecher für Opfer sexueller Übergriffe tätig. Oft handelte es sich bei den Opfern um Frauen, die sich nicht wehren konnten oder nicht wussten.
„Das Ziel meines Kurses ist es, ihnen die Möglichkeit zu geben, am Ende der Nacht nach Hause zu kommen, anstatt im Krankenhaus oder Schlimmerem zu landen“, sagte Klein. „Menschen unterschätzen sich manchmal stark und denken, dass sie nicht in der Lage sind, etwas zu tun, aber wenn sie dann die Chance bekommen, aufblühen sie.“
Im Kurs konzentriert sich Klein auf drei Aspekte der Selbstverteidigung: Ruhe bewahren, die Situation einschätzen und Maßnahmen ergreifen (um zu entkommen).
Der Kurs ist jedoch viel mehr als eine Vorlesung, er ist ein interaktives Unterrichtserlebnis. Nachdem Klein spezifische Selbstverteidigungstechniken erklärt und besprochen hat, zieht er Schutzausrüstung an und stellt den Schülern Boxhandschuhe zur Verfügung, damit er einen Angriff simulieren und sie gleichzeitig zum Gegenwehren ermutigen kann. Das Ziel besteht darin, den Schülern die Möglichkeit zu geben, „sich mit dem Unbehagen vertraut zu machen und ihre Kampf- oder Fluchtreaktion zu testen“, sagte Klein.
Bisher hat Klein drei Selbstverteidigungskurse in Brüssel unterrichtet und sucht nach Möglichkeiten, diese an anderen Standorten innerhalb der USAG Benelux-Gemeinschaft anzubieten. Das Interesse an den Kursen ist gestiegen und Klein ermutigt die Schüler, den Kurs mehr als einmal zu besuchen, um sich mit verschiedenen Techniken wie Schlagen, Treten und dem Umgang mit Alltagsgegenständen wie Schlüsseln, Geldbörsen und Rucksäcken vertraut zu machen, um einem Angriff zu widerstehen.
„Wenn man angegriffen wird, gibt es keine Zeit zum Zögern oder Durchdenken, man muss einfach handeln“, sagte Klein. „Das Ziel besteht darin, es ihnen so bequem zu machen, dass es ihnen zur zweiten Natur wird.“
Yvonne O’Toole, eine Studentin, die alle drei von Klein angebotenen Selbstverteidigungskurse besucht hat, sagte, dass ihr das praktische Training, das sein Kurs bietet, gefällt. „Die Möglichkeit, an einer Person zu üben, gibt mir die Werkzeuge und das Selbstvertrauen, mich zu schützen, wenn ich alleine bin“, sagte O’Toole.
Klein stammt aus einer Familie mit langjähriger Erfahrung in der Strafverfolgung und ist stolz darauf, in die Fußstapfen seines Vaters zu treten und Selbstverteidigungskurse zu geben, die dabei helfen, Menschen vor Übergriffen oder Misshandlungen zu schützen.
„Mir gefällt es, den Schülern zu zeigen, dass sie den Kampf in sich tragen und kein hilfloses Opfer sein müssen“, sagte Klein.
Diese Rampenlight-Reihe wird weiterhin die Geschichten unserer Belegschaft in und um die Benelux-Länder erzählen. Wir sind die Heimat der Armee – wir sind IMCOM.
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